Le rêve… tel était le sujet de la 12ème édition du Nikon Film Festival ! Nous avons assisté à la remise des prix, présidée par Gilles Lellouche

Du 27/04/2022

Cinéma / Théâtre

Le rêve… tel était le sujet de la 12ème édition du Nikon Film Festival ! Nous avons assisté à la remise des prix, présidée par Gilles Lellouche

Le rêve… tel était le sujet de la 12ème édition du Nikon Film Festival ! Nous avons assisté à la remise des prix, présidée par Gilles Lellouche

Le Nikon Film Festival est un événement haut en couleurs dans le paysage audiovisuel français. Cette année, il a encore rassemblé plus de 1600 courts métrages et réuni un jury remarquable : entre autres Pierre Lescure, Audrey Diwan, Aïssa Maïga ou encore Augustin Trapenard… N’oublions pas que le Nikon Film Festival est un tremplin pour les cinéastes de demain, un vrai révélateur de talents.

Voici le palmarès des 11 films sélectionnés :


Le prix du public revient à Paul Deby avec son film Les rêves lucides. Film où le protagoniste expérimente le principe du rêve lucide, c’est-à-dire le contrôle de l’inconscient pendant les différentes phases de rêve.


Arthur Chays remporte le prix de la mise en scène avec son film d’animation Spoon qui suit une femme qui tente d’échaper à son quotidien de mère de famille, passant de l’infini petit à l’infini grand. 

Rêves Party remporte le prix du scénario et celui de l’interprétation masculine. Réalisé par Amélie Prévot et Marion Christmann et porté par le comédien Oscar Opp, le film retrace la rencontre d’une petite fille et d’un dealer de rue.


Le prix d'interprétation féminine revient à Delphine Théodore dans le film L'Augmentation réalisé par Régis Granet. L’histoire est celle d’une femme qui expose à son supérieur ses rêves quant à une augmentation qu’elle n’aura jamais… 

Le prix du meilleur son est attribué à Jean Chambre, de Monsieur Redcastle où le personnage, qui est plongé dans un sommeil profond, nous fait vivre ses tribulations à travers une bande son complexe et immersive.

Mathilde de la Musse remporte le prix Alice Guy avec son film  Pour Deux heures par semaine où deux jeunes femmes fantasment un avenir qui leur est, pour le moment, inaccessible.


Sweet Dreams se voit attribuer le prix de la Critique. Mis en scène par Benjamin Ifrah, le film retrace la discussion entre une téléopératrice qui s’occupe du SAV des rêves et son client mécontent.


Le prix des écoles est attribué à Aretha Iskandar et Edouard Lemiale pour leur film Alex où le personnage principal s’imagine une vie nouvelle en Italie alors que sa réalité en Gambie est beaucoup plus dure…


Le prix international revient à  Mode-Express de Manon Talva et Louis Lecointre où deux femmes sont rattachées par une société de consommation complètement antagoniste.


Le Prix de la photographie est remis à Dans ses yeux d’ Adrien Parmentier et Raphaël Berlucchi. C’est l’histoire d’une petite fille qui interprète un drame familial à travers un regard beaucoup plus innocent que sa réalité.


Et pour finir en beauté, Nourrir les Cygnes de Christophe Deal remporte le Prix du jury avec un film qui navigue entre rêves et réalité. Un mélange d’une justesse incroyable et proche de l’absurde qui nous rappelle le cinéma de David Lynch et de Federico Fellini


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